Catégorie : inovation

nos essais avec la société VINPAI

Comment produire industriellement une mozzarella analogue à l’aide d’un ROBOT CUISEUR POLYCOOK ?

ETA répond à cette question dans sa nouvelle vidéo tournée chez notre partenaire français VINPAI.

Découvrez en image, la mise en œuvre sur le cuiseur robot POLYCOOK de leurs premix technologique MOZZ’ALPA LACTIS, pour une mozzarella au bon goût laitier.

La polyvalence

La polyvalence
Le #POLYCOOK est plus qu’un #cuiseur standard, c’est un robot #culinaire #industriels qui vous permettra de réaliser des #recettes variées, allant de #sauces diverses à des #confitures, en passant par des #platscuisinés, tels que des #soupes, des mélanges de #légumes cuits et des #fromages. Il vous permet aussi de #torréfier de nombreux aliments et de concevoir divers #desserts, #crèmes #pâtissières et préparations à base de #chocolat.
Idéal pour votre #production, il vous laisse une grande marge de manœuvre pour élaborer de nouveaux produits, pour lesquels l’équipe POLYCOOK se fera un plaisir de vous #accompagner.

Le POLYCOOK ne vous bloquera pas dans l’évolution de vos produits : Produisez aujourd’hui des confitures et #gratins ; et réalisez dès demain des soupes, #potages, fromages #végétaux ou des jus de #fruits, voire même des produits torréfiés.

Un seul appareil, des milliers de possibilités.

essai #refroidissement #AZOTE

Notre salle d’essai, ainsi qu’un partenariat avec #airliquide, nous a permis de faire un test de refroidissement, par injection d’azote direct dans le produit (crème dessert, légumes et d’autres).
Après avoir réalisé une préparation complète dans notre POLYCOOK cuiseur, avec une température du produit a plus de 90°, un 1er refroidissement de la double paroi en eau du réseau puis une injection d’azote direct via les injecteurs de vapeur. (Dans la version de nos polycook cuiseur #industriel équipé du refroidissement AZOTE le #POLYCOOK #CUISEUR , le cuiseur est équipé de 4 injecteurs 2 pour la vapeur et 2 pour le refroidissement azote.
Les résultats obtenus sont très intéressants, la rapidité est de 90° à 15° en environ 12MN selon les produits.
Le polycook cuiseur industriel permet de faire des préparations complètes sans transfert de produit d’une machine à l’autre, le POLYCOOK permet de faire votre #recette de A a Z avec le même outil.
Les avantages :
– Une rapidité d’exécution des recettes avec un gain de temps de plus 50%.
– Limitation des risques de contamination bactériologique.
– Évité les incursions de corps étranger.
Je reste à votre disposition pour un futur contact :
Sébastien CORTELL
scortell@eta.fr / TEL 0609396011

IO-Link : la nouvelle communication au niveau des capteurs

IO-Link offre de nouvelles possibilités de communication entre la commande de l’installation et le niveau de terrain : les capteurs et les actionneurs participent activement au processus au sein d’un réseau d’automatisation cohérent. En tant qu’émetteurs, ils signalent de manière autonome les erreurs et les états à une commande. En tant que récepteurs, ils reçoivent des signaux inversés et les traitent. Résultat : une optimisation des coûts et des processus sur toute la chaîne d’approvisionnement, à travers tous les secteurs.

O-Link est la première technologie normalisée d’entrées/sorties dans le monde (selon la norme IEC 61131-9), dédiée à la communication avec les capteurs et les actionneurs. Cette communication point à point puissante utilise la connexion du capteur et de l’actionneur déjà établie : le raccordement à 3 fils, sans exigences supplémentaires concernant le matériau du câble. Ainsi, IO-Link n’est pas un bus de terrain, mais l’évolution naturelle de la technologie de connexion existante et éprouvée pour capteurs et actionneurs.

Quels bénéfices ?

Amélioration de la disponibilité des machines

• Réduction des temps d‘arrêt machine grâce aux données d‘état et  de diagnostic
• Simplification de la maintenance préventive et du paramétrage des équipements
• Remplacement d‘appareils sans paramétrage manuel et sans personnel qualifié

 

Efficacité des process

• Options possibles pour des modifications rapides de paramètres
• Possibilité de gérer différents jeux de paramètres (seuils de commutation, sensibilité…) à chaque changement de production
• Opérations de changement de process rapides

 

Réduction des coûts machines

• Réduction des stocks grâce à des appareils multi-usages intelligents
• Utilisation de câbles standards
• Réduction des coûts d‘ingénierie et de documentation

 

Intégration aisée

• Raccordement sur carte d‘E/S TOR ou master IO-Link directement sur l‘automate
• Raccordement sur bus de terrain (Profinet, Ethernet/IP, EtherCat,…)  via des passerelles ou modules d’E/S déportées.

innovation polycook refroidissement par azote agro-alimentaire

Le refroidissement a L’azote un froids rapide et efficace 

Parmi les substances très froides, l’azote liquide est une référence : il présente une température de −196 °C, ce qui est suffisant pour réaliser toute sorte d’expériences, et même de la cuisine (crème glacée instantanée, par exemple).

Mais alors d’où provient ce froid ? Comment reste-t-il à cette température si basse sans se réchauffer ?

Une question de chaleur latente

La réponse à ces deux questions réside dans la chaleur latente de changement d’état.

Quand on chauffe un corps quelconque, par exemple de l’eau, la chaleur apportée va en élever la température. Chauffer de l’eau à 20 °C va ainsi la faire monter à 60 °C. Si l’on chauffe encore, la température monte de nouveau, jusqu’à 100 °C. Lorsque l’eau atteint 100 °C, elle bout.

C’est à ce moment qu’il faut comprendre ce qui se passe : si l’on continue de chauffer de l’eau bouillante, la température n’augmentera pas : l’eau restera à 100 °C. À la place, l’eau liquide va passer à l’état de gaz.
On peut chauffer autant que l’on veut : tant qu’il restera de l’eau liquide, la température de l’ensemble restera à 100 °C. Toute la chaleur apportée à notre eau sera consommée exclusivement pour changer l’état de l’eau, provoquant la vaporisation.

La chaleur que l’on apporte à notre eau, mais qui ne modifie pas la température (seulement l’état, liquide ou gazeux), est appelé « chaleur latente ».

Et pour l’azote liquide ?

Pour l’azote liquide, on a la même chose, sauf que ça ne se passe pas à +100 °C comme pour l’eau, mais à −196 °C.

Par conséquent, lorsque l’on a créé de l’azote liquide très très froid (grâce à un frigo très très puissant, pour simplifier), il va se réchauffer au contacte de l’air ambiant. Sauf que l’azote « normal » est gazeux et non liquide : il va donc bouillir. Pour cela, il doit capter de la chaleur dans l’air. Et cette chaleur captée, elle va tout d’abord transformer l’azote liquide en azote gazeux avant de la réchauffer. En d’autre mots, l’azote restera froid tant qu’il sera liquide.

La chaleur apportée par l’air ambiant provoque le changement d’état du liquide mais ne le réchauffe pas : c’est de la chaleur latente. L’azote dans son état liquide ne peut exister au dessus de −196 °C. Si l’on atteint cette températures suite à un apport de chaleur, cette chaleur provoque uniquement le changement d’état.

C’est pour cela que ça reste froid. Et votre azote liquide reste froid d’autant plus longtemps que vous limiterez les transferts thermiques de l’air ambiant vers l’azote, par exemple dans une bouteille thermos.

Quelques remarques

Premièrement, les températures de changement d’état sont données pour quand on est à pression atmosphérique normale. Si l’on abaisse la pression, le changement d’état varie. L’eau peut ainsi bouillir à 60 °C, ou même 20 °C sous des pressions très basses.

Deuxièmement, les fumerolles que l’on voit quand l’azote liquide bout n’est pas de l’azote gazeux : l’azote est invisible. En réalité, l’azote liquide est si froid qu’il gèle l’humidité de l’air et forme des micro-cristaux de glace. Ce que vous voyez ce sont donc des micro-cristaux de glace en suspension dans l’air : autrement dit, un sorte de nuage.

Enfin, l’azote liquide n’est pas le seul produit utilisé pour produire du froid. De façon plus courante on trouve ainsi la glace carbonique : c’est du dioxyde de carbone à l’état solide. Ce dernier reste à −79 °C tant qu’il n’a pas totalement été transformé en gaz. Ici, la glace carbonique ne fond pas mais se sublime : elle passe directement de l’état solide à l’état gazeux, sans passer par une phase liquide.

Et si on veut avoir un froid plus intense que celui de l’azote liquide, on peut utiliser de l’hélium liquide, qui lui bout à −269 °C, soit 4 °C au dessus du zéro absolu ! Ce dernier étant cher à produire, il n’est utilisé que dans les domaines de recherche qui ont vraiment besoin de ces températures. On préférera utiliser, là où c’est possible, l’azote liquide, qui est bien moins rare et moins cher.